Rencontre entre collègue [PV : Randy]

Je fis réveiller par la sonnerie de mon réveil. J'appuya sur le réveil pour le faire taire et me leva à contre coeur de mon lit. Je rassembla mes affaires et me précipita dans la salle de bain pour me doucher. Toute habillée mais les cheveux encore mouillés et un pancake dans la bouche, je jeta un coup d'oeil à mon réveil et m'aperçut qu'il était déjà 9h02. Je mangea à vitesse grand V mon pancake et me sécha les cheveux en vitesse. Je pris la direction de la porte d'entré et la referma après être sortie. Je pris la direction de la rue de Woodsboro, après quelques minutes de marche j'arriva enfin devant la vidéo-club ou j'avais pris un poste de caissière. Je pénétra à l'intérieur du magasin, pris le direction du vestiaire et enfila la tenu réglementaire des caissières de ce magasin. Cette journée risque d'être long, je vais devoir avaler les réflexion des gens : les gentilles, les méchantes, les original. Il faudra revenir demain et après demain et les jours d'après. Et plus le temps passe et moins le métier de votre vie vous donnera envie de vous lever. Croyez-moi. Après quelques minutes de long pensé je pris la direction de ma caisse. J'espère vraiment me faire des amies, surtout que je ne suis pas très douer pour m'en faire. Les gens préfère m'éviter car je suis bizarre. Il n'y avaient pas beaucoup de clients dans le vidéo-club.

Alors quand vous entendez une mère dire à son enfant en vous pointant du doigt : "Tu vois chéri, si tu ne travailles pas bien à l'école, tu deviendras caissière, comme la dame", rien ne vous interdit d'expliquer que ce n'est pas un sot métier, que vous ne voulez pas rester au chômage et vous avez même fait des études brillantes (Un bac + 5? Tout ça ?). Sinon, ne vous étonnez pas si après les enfants vous manquent de respect ou vous voient comme une ratée. J'ai un scoop pour toutes ces personnes bien pensantes : il est loin le temps où avoir fait des études conduit à un emploi de rêve. Aujourd'hui, les diplômés universitaires occupent aussi bien souvent des petits boulots. Je fus tirer de mes pensées par un jeune homme plutôt beau garçon. Travaillé t'il ici ? Ou étais t-il un client ? J'eux la réponse à ma question quelques secondes plus tard en me demandant si j'étais contente de travailler au vidéo club.

- On va dire oui, mais je ne me vois pas faire ça toute ma vie et toi ça fait longtemps que tu travail ici ?

Ce jeune homme m'intriguer beaucoup, à vrai dire j'étais toujours intriguer par les personnes qui me parler. J'avais envie de plus le connaître.

- Au faite je m'appel Isabella Starzenski. Enchanté de faire ta connaissance.

Après mettre présenté, enfin si ont peux appelé ça une présentation, mon collègue fit de même. Il s'appelait Randy, plutôt original. Il bosse ici depuis un petit moment et qu'il est employé pour mettre en forme les rayons. Son travail à l'air aussi ennuyeux que le mien. Un lègé sourire pris forme sur mon visage

- Je vois qu'on n'est pas gâter dans le domaine du travail.

Après un petit moment, deux personnes rentrâmes dans le magasin. Rien quand voyant leur tête elle ne m'inspirai pas confiance du tout. Des gosses de riche. Elles nous lançâmes un regard puis ajouta : "Toujours en train de parler entre eux ces employés. Ils sont vraiment payés à rien faire". Non mais elles ce prennent pour qui les deux sauterelles ? C'est plutôt elles qui sont payé à rien faire ! Je tourna la tête vers Randy et lui demanda :

- Non mais elle ce prennent pour qui sérieux ? Tu te fait souvent "insulter" de la sorte ?

Après que Randy est parler je compris que les deux poufs qui venaient de rentrée dans la vidéo-club était des clientes régulières. Pourquoi Randy ne les insulter pas aussi ? Après tout ce ne serai que justice. Yeux pour yeux, dent pour dent. Si elles passaient à ma caisse elles risquer de ne pas être déçu du voyage. Je détester ce genre de personne qui vous parle de haut et ce croive supérieur à vous. Je tourna mon intention vers Randy.

- Tu devrait répliquer, leur faire comprendre quelles doivent te respecter. C'est pas parce que tu travail ici que tu doit te laisser marcher sur les pieds. Puis si elles te redissent quelque chose je me ferai un plaisir de les remettre à leur places ces deux poufs.

Je commencer à bien apprécier Randy, ces quelque de simple, gentil, attentionné et surtout à l'écoute. Une des qualité qui manque énormément chez la gente masculine. C'était le premier ami que je me fessais et j'avais bien l'attention de le garder aussi longtemps que possible.

- Tu devrait retourner dans les rayons, si le chef nous vois ça va chauffer pour notre matricule. On se parlera pendant la pause déjeuner si tu veux.

Je lui adressa un large sourire sincère.